En Pologne, l’avortement n’est autorisé que si la grossesse résulte d’une agression sexuelle ou d’un inceste, ou si elle constitue une menace directe pour la vie ou la santé de la mère. Cette législation restrictive affecte non seulement les femmes polonaises, mais aussi les réfugiées ukrainiennes cherchant un accès à des services d’avortement sûrs.
Kinga Jelinska, directrice exécutive de Women Help Women, nous explique comment son organisation fournit des informations et un accès sécurisé à la contraception et à l’avortement médicamenteux dans ce contexte difficile.
Avec le soutien de la Fondation Médecins du Monde, Women Help Women lutte contre la désinformation pour garantir le droit à l’avortement en toute sécurité.
Découvrez son témoignage.