Article(s) archivé(s) de la catégorie Nos projets

LEARN Afghan est une organisation à but non lucratif créée en 2018 par Pashtana Durrani, dont la mission est de fournir une éducation et une aide aux communautés les plus reculées et les plus défavorisées d’Afghanistan, en mettant particulièrement l’accent sur l’autonomisation des femmes et des filles. LEARN Afghan vise à donner accès à une éducation de qualité à celles et ceux qui n’en ont pas les moyens. L’association travaille en partenariat avec des établissements d’enseignement pour : offrir une éducation gratuite aux familles dans le besoin ; remédier à la rareté de l’éducation sur les droits reproductifs des femmes en dispensant

En Amérique latine en 2020, 97 % des femmes en âge de procréer vivaient dans des pays imposant des lois restrictives en matière d’interruption volontaire de grossesse (IVG)(1). Le recours libre à l’IVG n’était possible que dans trois pays : Cuba (depuis 1965), le Guyana (2006) et l’Uruguay (2012). Après plusieurs années de débats parlementaires et avec l’appui massif des femmes descendues dans les rues, l’Argentine a à son tour légalisé l’avortement fin 2020. Cette victoire historique constitue un signal fort pour l’ensemble du sous-continent et renforce la mobilisation des féministes, notamment au Mexique ou en Colombie. LA SITUATION HUMANITAIRE

Forcés d’abandonner leurs terres il y a plus de 70 ans, les Palestinien·nes vivent sous l’occupation israélienne depuis plus de 50 ans. Une grande partie de la population subit également le blocus de la bande de Gaza depuis 14 ans. Dans ce contexte, Médecins du Monde intervient en Palestine depuis 25 ans en fournissant un appui direct aux populations palestiniennes et aux structures de santé, tout en se portant témoin des nombreuses difficultés rencontrées au quotidien par les Palestinien·nes. VIVRE LE BLOCUS À GAZA La bande de Gaza est l’un des territoires les plus densément peuplés au monde. Depuis 2007, la

Plus d’un millier de femmes migrantes d’origine chinoise à Paris et dans la région Île-de-France sont amenées chaque année à exercer le travail sexuel pour un temps donné et pour des raisons diverses. Alors que certaines d’entre elles revendiquent leur choix de pratiquer cette activité, pour d’autres il s’agit avant tout d’une stratégie de survie. Pour la majorité d’entre elles, sans titre de séjour et d’autorisation de travail en France, il s’agit d’un des seuls moyens de subsistance qui leur soit possible. LE PARCOURS MIGRATOIRE DES TRAVAILLEUSES DU SEXE CHINOISES À PARIS Les motifs d’émigration cités par les personnes concernées : Subvenir aux

Silver Rose est un mouvement communautaire de travailleur·es du sexe (TDS) initié dès 2003 par la militante Irina Maslova à Saint-Pétersbourg. Depuis 2012, Silver Rose a entrepris plusieurs procédures pour obtenir un enregistrement officiel auprès du Ministère de la Justice en tant que mouvement national des TDS en vain, les autorités russes ne reconnaissant pas leur existence. L’association a enfin réussi à obtenir une existence juridique officielle en 2019 en devenant la Fondation Astarta. En juin 2020, le Comité exécutif de la Fondation Médecins du Monde a accordé une subvention de 150 000 € sur 3 ans à la Fondation